GraNdE MESSE

guidance audio érotique

Porté par la voix chaleureuse et épicée de votre hôte, Alexine Quinn, laissez-vous guider intimement dans un moment de connexion à vos sensations.

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intiMitÉ

récit érotique

venez lire Alexine quinn prendre plaisir à jouer avec les mots pour raconter ce que son esprit a imaginé et surtout ce que soncorps a vécu.

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Bonbon

par Alexine Quinn

Mes lèvres sont si près des siennes que je pourrais les embrasser, si près que je ressens la tension de son envie vibrer dans sa respiration, sz près que je perçois la pulsation de son sang dans son torse, si près que je suis essoufflée par l’anticipation, si près que l’envolée de sensations au bas de mon ventre pourrait me faire croire à des papillons si j’étais dotée d’une pointe supplémentaire de naïveté.


Sa bouche est entrouverte et j’ai envie d’y déposer la mienne, enflammée, mais je m’y retiens, préférant allonger les secondes et posséder son présent. Je porte le bout de mes doigts sur sa clavicule et l’effleure à peine en serpentant sa peau attentive. Son souffle se creuse. Je ferme mes yeux et m’approche tout juste un peu. Ma lèvre du bas touche les siennes. Elle rebondit doucement sur le contact. Il ne bouge pas, n’avance pas, ne recule pas. Fixé, il est là, dans l’attente de moi. Ma main remonte à sa mâchoire et je retourne délicatement à sa bouche entrebâillée. Ses poils accrochent la douceur de ma paume. Mes doigts s’arrêtent à sa nuque et remontent à la racine de ses cheveux courts. Mes lèvres s’attendrissent au contact des siennes. L’instant s’étire, fixant le temps comme s’il durait plus longtemps.


Rares sont ceux que je considère doués pour m’embrasser. Majoritairement, ils ne savent que faire d’autant de lèvres. Habitués de se contenter d’une faible moitié, ils sont trop excités pour prendre le temps d’habiter ma bouche à sa valeur. Lui, il me laisse le jouer à ma façon, suivant les mouvements de ma langue avec la sienne, sans pour autant en être passif. En dedans, c’est vivant, c’est frissonnant, c’est vibrant. Je ne peux que m’imaginer l’ondulation que prendraient nos deux bassins noués. Mon corps pétille silencieusement. Lui, il est calme. Ses mouvements lents sont assurés et hypnotisant. Ses mains glissent sur mes épaules pour dégager nos visages de mes cheveux colorés qui ne cessent de s'agripper aux poils de sa barbe, renforçant l’idée que nos deux corps ne seront assez près que lorsqu’ils seront imbriqués.


Fidèle à moi, j’ai envie de le sentir en moi. Mais je ne veux pas y perdre le contrôle, pas cette fois. Ici, cette nuit, j’ai besoin qu’il soit à moi. Je veux le sentir fondre comme un bonbon à mes lèvres. Je dirige ma bouche à son cou. Il suit mon rythme et sa tête se renverse pour dégager mes mouvements. Je fais rouler mes lèvres pulpeuses sur lui, goûtant chacune des écailles de sa peau jusqu’à rejoindre le lobe de son oreille. Je m’y attarde et il gémit. Je souris dans son cou, fière de l’emprise que je gagne lentement sur lui.


Déterminée à embrouiller ses sens, je survole le tissu de son corps de mes doigts, prenant soin de caresser chaque parcelle de sa peau nue exposée. Légèrement. Doucement. Je passe mes mains de son torse au bas de son ventre, poussant chaque fois un peu plus loin ma curiosité. Sans jamais lui en donner suffisamment, j’évite consciencieusement de toucher sa queue bandée logée sous les draps blancs immaculés. Mes mouvements le font trembler, littéralement. Je me complais de le sentir frissonner pour moi, comme si chaque tremblement de son corps confirmait le gain que je prends sur lui. Le coton de ma culotte noire se trace de mon excitation, je voudrais y plonger les doigts et la récolter. Mais je m’y résigne, déportant toute mon envie sur son plaisir que je m’amuse à voir grandir.

Les minutes avancent lentement. Sa peau devient un jouet entre mes mains. Je prends plaisir à le faire languir. Cherchant à lire ses limites, j’étire chacune de ses vibrations pour mieux l’habiter. Ma main effleure enfin son sexe. Il en oublie de respirer. Je prends appui sur le lit et m’élève à lui avant de redescendre en glissant mes lèvres charnues à son torse. Son souffle cassé m’encourage et je savoure chaque ondulation de sa peau. Toujours aussi pressée, je me meurs de le goûter, mais je continue de jouer sur le temps, comme si j’y étais avant tout pour le jeu et non que pour la valorisation de la finalité.


C’est le silence complet depuis le début, on ne peut qu’habiter le présent. Il n’y a que la musique derrière pour accompagner ses soupirs d’excitation. Mes longs cheveux rouges se cassent contre sa peau alors que je descends plus bas. J’embrasse son ventre et son bassin lentement, prenant soin de laisser ma joue effleurer son sexe. Je m’attarde candidement sur l’os de son bassin alors que ma main se perd à ses couilles. Je pose ma bouche sur sa queue en l’embrassant du bout des lèvres avant d’y remonter la langue avec envie. Sa main passe à mes cheveux pour les dégager de ma léchée. Puis je l’encercle une première fois. Son souffle s’entrecoupe. Je le glisse dans ma bouche attisée, prenant le temps de bien goûter cette première sensation.


Muet et dans un geste d’abandon qui me fait plaisir, il repose sa tête bien au fond de l’oreiller me capitulant ainsi son corps. Il est encore loin de la giclée de son orgasme et déjà je sais que je vais le vivre dans ses pensées pour les jours à venir. Je n’ai jamais perdu de points en posant ma bouche sur un homme. Jamais. J’y ai toujours gagné le pouvoir, même quand je m’y suis agenouillée.


Il ne bouge pratiquement pas, mais sa respiration se fond bien vite au rythme de ma bouche. Si j’aime me nourrir de sa peau. J’y tire assurément autant de plaisir que lui. Mon corps entier est excité, si je n’écoutais que mes propres envies, je serais déjà solidement assise sur lui. Mais j’ai choisi de jouer, alors je le glisse à moi comme s’il était un caramel que je suce, lèche et embrasse, délicatement, en étirant le temps pour m’assurer de tout goûter. Ma main vient rejoindre mes lèvres momentanément sur sa queue luisante de ma salive. Ce gars-là goûte délicieusement bon. Je ne ralentis que pour m’assurer de pouvoir le jouer plus longtemps, pour m’assurer de le gardant vacillant sur la ligne traçant la distance entre le plaisir et la jouissance sans pour autant le faire traverser, pas tout de suite du moins.

Je me demande ce qu’il pense de son côté, alors que ma langue excitée serpente ses couilles alors que je le branle. Je le plonge à nouveau entre mes lèvres jusqu’à son fond. Puis, pour la première fois, il prend la parole pour me dire exactement ce que j’aime entendre.


- Tu vas me faire jouir ma belle.


Sa main se pose sur ma tête comme pour appuyer les mots qu’il vient de prononcer. Contrairement à la masse de giclées que j’ai avalées avant, lui, il ne m’y provoque pas pour rassurer sa masculinité en possédant brusquement la finalité. Sa main est douce et il me laisse faire ce que je veux de lui, entièrement et complètement. Je le possède en entier. Tout à moi. Je ne sais pas s’il peut ressentir mes lèvres fières sourire autour de sa queue, mais elles le font. Puis, ma main suit le rythme de ma bouche qui l’enfonce entre mes lèvres à répétitions, jusqu’à ce que son corps me laisse aller ce que j’ai mérité.


Tout juste avant que la première pulsation de son orgasme me donne enfin la gorgée souhaitée, il se remet à frissonner. Cette fois plus intensément et me concède la vibration de tous les atomes de son corps tremblant. Je l’ai gagné, en entier, et j’avale sa lente et longue giclée de plaisir qui descend délicieusement au fond de ma gorge avant de finir sur cet écran… y marquant à jamais ma possession.


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SASSY

par Alexine Quinn

Lui -   Hâte de te voir.  


Moi - 🙃


Lui   - Ça veut dire quoi ça?  T’as hâte toi aussi?


Moi -  Je sors de ma zone de marche pour un verre; je te laisse la liberté d’interpréter mes emojis.


Lui -  Alors je le prends ainsi.     À tantôt beauté.



Je double clique sur son commentaire pour le servir d’une marque d’amour digitale. J’opte pour la facilité, sans pour autant le vexer par mon absence de clarté. De la conversation, je glisse vers une autre section de mon écran compartimenté; tout y est bien classé. De l’app de rencontres logée dans mes Divertissements, je me rends vers les Déplacements pour y retrouver Uber.


Commander votre course. Confirmer. Alexandre sera là dans 20 minutes qu’on me dit. Cool, Cool. J’active Arctic Monkeys qui descend instantanément Do I Wanna Know au creux de mes hanches. Le verre de rhum, 3e du nom et moi, on ondule jusqu’à ma chambre.


Quoi porter pour une première soirée. Quelque chose qui dit je ne prévois pas te marier, mais je demeure ouverte aux possibilités de t’enfourcher, le tout avec noblesse et dignité. Sassy, en prenant soin de s’encombrer du classy. Toujours classy, il n’y a que les filles de fond de rang qui agissent autrement, croyance largement martelée à mes pensées par le passé. Et moi je suis là 15 ans plus tard, à exploiter la rondeur de mes seins et à détailler les ondulations de mon bassin devant des milliers, preuve que la démesure de son contrôle a bien fonctionné.


Je suis passée de ne pas avoir la permission de marcher seule ma rue en fin de soirée, pour aujourd’hui utiliser, sans en douter, les services d’un étranger pour me rendre dater un autre étranger, dans le quasi unique but de saouler son visage de mon miel. Gloire au passage du temps !


Une jupe de velours côtelé qui courbe sur mes fesses avant de chuter vers le milieu de mes cuisses. J’ajoute un chemisier ample noir qui laisse comprendre ma fine taille et décore ma poitrine sans pour autant l’offrir en gratuité. Je conclus avec une sandale haute qui remonte à ma cheville et un rouge qui dit, je l’espère : « Merci de ne pas envisager me présenter ta mère ». Mon deuxième cerveau sonne pour m’aviser de l’arrivée imminente d’Alexandre. Il conduit une Camry bleu nuit et il est couronné de 4 étoiles et demie qu’on me dit. Et bien!


- Salut Alexandre. Merci de me prendre.


- Mon plaisir. On se rend au 1021 Boulevard du Lac, Alexine, c’est bien cela?


- Exact.


Il questionne de surface, je réponds par affabilité : la météo qu’il fait, le trafic un peu mauvais et où je vais... L’odeur de propreté de sa voiture entremêlée des effluves au souffle boisé que porte sa peau encourage mes sens. Ma voix s'adoucit, malgré moi, de mot en mot.


- Oui, Archibald, c’est ça. Je vais rejoindre quelqu’un.


-  Première date?


-  Genre.



Dans le rétroviseur, le reflet du coin de ses yeux cherche mon attention par la passade. Les ridules qui les marquent se creusent sur chaque sourire qu’il signe, dont celui qu’il accompagne de ceci :


- Il risque d’être vite conquis.


- L’art de bien choisir son outfit.


Détourner un compliment pour éviter de l’endosser, sans complètement déconsidérer l’auteur, c’est ma zone d’excellence. Mon regard se porte sur son chandail aux manches longues qui moule l’élégance de ses bras tout en guidant mes rêveries vers la puissance estimée du plaqué que prendrait mon cul excité contre un mur. Ses mains pleines et ses doigts appuient la motion de ma fantaisie.


- Tu ne penses pas?


- Je ne t’écoute pas.


- Oh...


- Je regardais tes avant-bras et tes larges mains, sans chercher à t’offenser.



Sur mes mots, ses yeux bruns sourient comme un vieil adolescent au cœur préservé malgré le temps. Il remonte son chandail pour agrémenter la toile. Ses quelques bracelets roulent sur son poignet contre sa peau marquée d’encre.


- Je suis barbouillé à la grandeur; j'essaie de le cacher un peu quand vient le temps de travailler.


- Cute.


- Tu trouves ça cute?


- Oui, ça te fait une belle carapace.



Semblable à celles que j’ai suivies du bout de mes doigts sur la peau vulnérable d’autres qui ont parfumé les draps de mon lit, jamais bien plus qu’une nuit. Cette protection toujours unique, mais rarement imprévisible dessinée sur le corps de ceux qui gribouillaient trop sauvagement le coin de leurs cahiers dans le passé; ces adultes qui ont appris à couvrir stratégiquement leur pureté trop douce pour y confondre la profondeur des marques cumulées. L’ironie de la facilité avec laquelle j’arrive à les percer rassure mon large ego chaque fois, expliquant du même coup que j’y revienne constamment.


- J’ai changé d’idée sur le trajet.


- Tu veux aller où?


Sur mon téléphone, je modifie la destination; ce qui lui envoie une notification aussitôt.


- Veux-tu jouer avec moi?


Il clique sur son écran : Accepter. Je le prends, sans son explicite consentement, pour un acquiescement.


- Détache ton pantalon.


- Oui?


- Oui.


Il obéit, facilement, confirmant la personnalité que je lui ai mentalement attribuée. Abondamment tatoué, comme un pseudodominant qui ne rêve que de lâcher prise sur son éternelle maîtrise, il poursuit la route vers notre nouvelle destination : le fin fond de nulle part. J’ai cliqué, fortuitement, sur un point en bordure de champs pour étirer le temps et me permettre de le jouer à satiété. Pendant qu’il défait son jeans, je vois mon téléphone s’illuminer. «Je suis arrivé. , qu’il me dit. Shit, j’étais en train de l’oublier.


- Petit imprévu, mon Uber semble dévié du chemin calculé.   Je serai en retard.


- Pas de stress, je m’installe avec un verre.


Ne jamais mentir, mais ne jamais tout dire : ça aussi c’est dans ma zone d’excellence. Le temps gagné, j’approche la rougeur de mes lèvres rondes de sa nuque. Son jeans ouvert, de derrière, j’entrevois son boxer gonflé. Il n’y a rien d’impressionnant, mais rien de décevant non plus.


- J’adore les histoires. Alors je vais t’en raconter une ici et toi tu vas m’écouter sagement. Compris?


- Loud and Clear.


En proximité, je sens sa respiration tressaillir au rythme de mes mots. J’ai l’habitude de réciter mes salaceries anonymement au micro, mais la docilité bien bandée ici, 


- Sors ta queue de ton boxer.


Ses yeux laissent la route pour chercher une réponse dans le rétroviseur. L’hésitation le prend et je l’ignore. Je poursuis mon récit détaillé de la douche que j’ai prise en terminant le boulot. La chaleur de ma voix finit par guider son courage. À peine deux minutes suivant ma demande, il s’exécute, me dressant sa validation sous le volant. La route devant n’est désormais plus très passante, à l’exception de quelques habitants du coin qui croisent notre chemin. L’idée qu’il soit vu, ainsi, fait doubler mon intérêt.


Tu sais que tout le monde autour risque de te voir hein… Mais, je ne vais pas te laisser seul avec ça. Cela ferait de moi une bien mauvaise partenaire de jeu.


Sa respiration chambranle aux frontières de son excitation. Dans son cou, je ressens toute la faim qui coure sous son épiderme : la création de ma provocation. Mon ego se gonfle aussi bien que mon clitoris.


- Je t’interdis de toucher ta verge.


Il me regarde, le visage plein de questions.


- Si tu le fais, je vais être déçue.


Je pose mes lèvres sur sa nuque et l’embrasse, tout en lèvres, le manipulant ainsi avec un premier contact. Sa peau est salée par l’anticipation.


- Et quand je suis déçue, je ne joue plus.


Je prends son silence pour un Amen. Je me dépose au fond de mon siège en m’appuyant contre le dossier de tissu. Je soulève mon bassin et y glisse une main pour retirer ma culotte. Humidifiée par le plaisir de tirer les ficelles d’un autre, elle effleure mes jambes, de mes cuisses à mes pieds bien chaussées. Je la libère de mes talons et m’avance pour la déposer sur sa queue dressée, avec la fierté frivole d’une gamine dont le fer à cheval encercle le piquet de jeu dans le gazon familial.


Ses yeux écarquillés passent de la route à sa masculinité décorée à toute vitesse. Le point d'arrivée n’est plus qu’à une centaine de mètres. Je reprends mon cellulaire, remets notre première destination sur la course et écris :


- Il est presque arrivé, je te rejoins dans 15 maxi.


Je suis patient, même dans ma hâte de te voir.


Je double le clic sur son message : encore ce cœur froid, mais réconfortant qui se dessine à l’écran. Je range mon appareil dans mon sac et je reviens à ce cher Alexandre qui vient d’accepter le retour au point initial sur son écran.


- Ça va te coûter cher pour la course.


- C’est ok pour toi?


Le souffle dans son cou, je lui dis :


- Si tu touches ton sexe, je le paie.

Sinon tu annules les frais.


- Ça me va.


J’enjambe le siège et je passe au-devant. Maintenant installée à ses côtés, j’ai accès à la musique sur son appareil ouvert. Je remplace sa musique populaire par The Saint of Lost Causes qui enveloppe la scène en tous points. Je grimpe ma jambe droite sur la console et je guide ma jupe pour dégager sa vue. Sous la guidance de Justin Townes Earle, je fais rouler mon index sur mon clitoris palpitant.


Je sais que tu dois garder ton attention sur la route. T’es un bon conducteur, t’as plein d’étoiles et je ne voudrais suuuuuurtout pas te faire perdre un de tes petits trophées de conduite, alors je vais te raconter tout ce que je fais au cas où tu ne vois pas les détails.


Son érection ne diminue pas malgré mon arrogance. Au contraire, j’y vois quelques gouttes ruisseler son appétit. Mon envie retenue d’y passer la langue électrise mon corps, de ma nuque jusqu’au bas de mon ventre pour venir mourir en sève au creux de ma fente.


J’ai un premier doigt sur mon clitoris chaud. Je le touche, parce que je suis très excitée par ta queue. Je m’imagine depuis que je suis assise ici l’enfoncer entre mes lèvres. J’essaie de deviner ce que tu peux goûter et ça me donne très envie de me caresser.


Tout son nom verbal pétille. Son regard, aussi agité que sollicité, a l'air de dire, mais comment on en est arrivé là?


Je vais enfoncer un doigt en moi maintenant.


Ce que je fais au même moment, continuant de faire circuler le sang sur ma bille. Mon entrée est trempée de l’intensité de cette improbabilité.


Je suis vraiment très lubrifiée. Ma chatte serait parfaite pour être prise, enfoncée d’un seul coup jusqu’à son fond. Mmmm… C’est dommage que tu manques ça hein? Pendant que je moi je suis là à me masturber, toi tu ne peux même pas toucher. Pauvre toi!


Tiens, laisse-moi te montrer.


J’approche ma mouille de son visage déconcentré, jusqu’à en toucher ses lèvres pour amplifier son envie. Il inspire mon essence jusqu’à ce que je l’en prive. Je laisse ma main descendre vers sa queue et j’y ramasse les quelques goûtes perdues que j’amène à ma langue. Je suce mes doigts pour n’en perdre aucune parcelle.


Mmmm… le mélange de nos deux corps. Si c’est ce que ça donne en bouche, j’imagine bien ce que ça donnerait si tu pouvais me pénétrer.


Disant cela, je détache mon chemisier pour lui exposer mes pointes marquées par mon plaisir de la scène que je lui joue. J’attrape sa main droite qui ne se fait pas prier et je la pose sur ma poitrine excitée. Aussitôt, il pince mon mamelon droit. L’électricité m'envahit à nouveau, laissant perdre un éclat de voix jusqu’à ses oreilles. Je pose ma main gauche sur sa cuisse, tout près de son sexe durci.


Les chemins vides par leur éloignement sont loin derrière nous, nous sommes revenus en pleine ville et sa voiture s’arrête à une lumière qui vient de passer au rouge. Les secondes de notre partielle nudité se cumulent. Il tente de camoufler sa situation aux voitures à proximité en abaissant son bassin, ce qui heureusement pour ma main l’apporte à frôler son bois.


J’enfonce mes doigts en moi maintenant. Je suis chaude, humide, mouillée. J’imagine que c’est ta belle queue bandée qui me plonge.


Je gémis sous mon geste répétitif, laissant ma tête choir vers la fenêtre. Mes doigts s’activent avec intensité et je soulève les hanches pour m’assurer de garder mon geste à sa vue. Je passe de ma fente à mon clitoris sans cesse. Le plaisir grandit jusqu’à me faire frôler l’envie de jouir.


Je suis très excitée avec toi ici. Je vais essayer de me contenir, mais j’ai vraiiiiiment envie de me laisser aller déjà.


La voiture reprend la route. Mon mamelon pincé par sa main envieuse, je gémis encore et encore. Le plaisir grimpe et se répand en moi. Ma main gauche se pose sur la base de sa queue et l’encercle. Elle ne la remonte pas, mais y fait sentir sa présence agrippant ses couilles tendues du même geste. Ma culotte est toujours posée sur lui. Je suis exhibée à sa vue et à celle de tout ce qui vit autour. Les doigts couverts de miel et frottant ma zone sensible, tout mon corps hurle l’envie de lâcher prise sur la tension de ma montée en plaisir.


Ça me ferait tellement de bien de te branler juste là. De remonter ma main vers ton gland et de redescendre au même rythme que je me caresse. Mais c’est insuffisant. J’ai besoin de plus.


On entre dans le stationnement et j’écarte ma main gauche de sa peau pour la déposer sur la mienne. La droite en moi, la gauche remonte ma jupe jusqu’à la faire tenir entièrement autour de ma taille. Mon cul est exposé. Il se stationne et ma main rejoint mon clitoris, l’appuyant pour compléter mon geste intérieur. Libéré de sa conduite, toute son attention est sur moi.


Je vais jouir maintenant et tu vas me regarder gentiment.


Je ramène ma tête vers son épaule et relève les fesses en gémissant. Ses doigts masculins rejoignent mes seins et déclenchent ma finalité. Mon corps se crispe de toutes ses cellules. Sa main délaisse ma peau frissonnante pour retrouver sa queue qui hurle viscéralement son besoin d’être empoignée. J’ai gagné. Mon plaisir implose et se libère de ma voix à ma fente, jusqu’à en imbiber son siège passager. Ma jupe bien remontée est complètement épargnée.


Je déplace sa main de sa queue pour reprendre ma culotte.


J’ai gagné. Merci d’avoir joué avec moi.


J’enfonce ma dentelle dans mon sac et je sors de sa voiture, boutonnant mon chemisier en marchant pour rejoindre ma date à l’intérieur, les joues rosies par le trajet.


Salut Sexy,

Si tu as apprécidé savourer mes délicieuses offrandes, fais-moi plaisir et viens me faire un petit coucou sur mes réseaux. Et si tu en veux un peu plus, saches que j'organise régulièrement des Grandes Messes en direct, des rituels tantriques et des cercles de femmes. J'ai également en boutiqueplusieurs élixirs, essences et objets de plaisir pour rendre ta vie encore plus orgsasmique.  

Au plaisir de jouer avec toi.

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Bisouxxxx
Alexine

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