La tête dans le cul temporel.
Ce que la monarchie a fait, on le refait.
Ce que la théocratie a fait, on le refait.
Ce que le colonialisme a fait, on le refait.
Ce que le patriarcat a fait, on le refait.
Ce qu’ils ont fait, on le refait.
Chaque fois, en se croyant éveillés.
C’est ça, la véritable honte.
Volés, brûlés, bannis, dépréciés et aujourd’hui cancellés.
Où est le gain ?
Jappez sur vos réseaux autant que vous le voulez… Allez-y !
Mais, ça ne vous sortira pas du temps brisé, des cycles répétés, génération après génération, depuis des millénaires.
Racontez-le à vos ancêtres que vous n’avez rien appris.
Dites-leur comment votre discernement a crissé le camp, comment, au lieu de créer, d’innover ou d’honorer, vous réagissez, vous vengez et vous crachez.
Dites-leur que leur mort atroce n’a cassé aucun cycle de haine.
Dites-leur que vous faites événement après événement pour « travailler et libérer les mémoires transgénérationnelles », mais que vous n’avez ni le courage ni la force d’âme de soutenir la paix avec dignité dès que vous êtes confrontés au profane.
Réfléchissez, les gens.
Avoir la tête dans le cul éternellement, c’est gênant.
La quête de liberté crée la prison.
Cessez de vous/nous condamner.
J’en appelle aux libres penseurs, aux mages, aux alchimistes. Que cet appel résonne dans les arcanes du temps et trouve son écho dans le Grand Œuvre, là où l’âme se forge, où la matière se transmute, et où l’invisible s’éclaire. Puisse la sagesse de l’unité se déployer.
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