(Alexine) Je m’ennuie de toi! Je m’ennuie de ton corps, de ta peau et de ton désir. Je m’ennuie de baiser, de me faire sauter… de me faire fourrer. Je m’ennuie du temps avec toi en dedans de moi. Tu étais le seul avec qui mon anxiété ne prenait pas le lead. Le seul avec qui je pouvais juste vibrer sans penser. Viens dont me trouver… !? Juste un peu. Juste une soirée. Je ne vais pas te garder, te posséder ou te chercher à te retenir. Je veux juste te prendre, t’insérer puis te sentir me cogner. Je veux que ma tête se fracasse sur le pied du lit. Je veux avoir mal au cul parce que tu le claques trop fort. Je veux me faire défoncer, fourrer… bien comme il faut. Je ne veux pas qu’on me demande comment je vais. Je ne veux pas qu’on valide mon opinion. Je veux juste me faire claquer. Je veux fucking jouir! Viens-t’en! Prends-moi, revire-moi puis défonce-moi.
(Personne) Woah! Toi! Tu n’as aucune censure.
(A) Mais si j’en ai! Tu serais encore plus dur si tu savais ce qu’il y a exactement dans ma tête. Tu es toujours avec elle?
(P) Oui.
(A) Et si tu revenais me prendre quand même?
Juste une fois. Mais bien. Et on ne dit rien.
(P) Je ne peux pas. On avait dit qu’on arrêtait. Tu m’as dit que tu avais mal et que tu n’en pouvais plus.
(A) J’ai encore plus mal de ne pas jouir correctement. Ils sont nuls les autres. Ils ne savent pas baiser. Ils ne font que me caresser plein d’espoir dans les yeux ou il me prenne comme si j’étais une actrice de porno.
(P) Haha, tu n’aimes pas qu’on te baise comme dans un porno? Tu m’étonnes.
(A) J’aime ça, mais quand c’est bien fait. Je ne veux pas avoir l’impression qu’ils m’écartent les jambes plus larges comme pour que la caméra prenne un meilleur angle. Je ne veux pas qu’il me demande s’ils peuvent garder une photo en souvenir pour leurs branlées. Je veux être dans le présent. Je veux qu’il me baise, qu’il me cogne, qu’il tabasse un peu ma chatte et qui la remplisse à rebord. Il n’y a que toi qui sais le faire, ça. Eux ils baisent pour impressionner, toi tu basise pour me faire hurler et m’effondrer après chaque orgasme.
(P) Ça me manque aussi. Ta face, ta bouche, ta langue au bout de mon gland. J’y pense tout le temps. Mais tu m’as fait promettre. Tu m’as dit qu’il ne fallait plus.
(A) Je sais. Je suis intense. Viens juste me prendre.
Elle est chanceuse. Elle doit jouir tout le temps ta putain.
(P) Ma femme.
(A) Pourquoi t’es marié à cet âge-là? Je ne comprendrai jamais. Viens me sauter!
(P) Va dormir ma belle. On s’en reparlera cette semaine, OK?
(A) Quand?
Et il ne m’a rien répondu. En fait, il ne me répond que quand ça lui plait, quand elle n’est pas à côté ou qu’il n’est pas occupé. Je ne suis pas sa priorité. Je ne l’ai jamais été et je sais bien que je ne le serai jamais. Mais je m’en balance. Je le veux, profondément et intensément. Je suis accro, une vraie junkie. C’est ma drogue : mon paradis empoisonné. Il n’a pas son égal. Personne ne touche sa cheville. Pas un homme. Personne. Encore moins une femme. J’essaie de l’oublier, mais je n’arrive pas à les remplacer, lui et sa queue gonflée.
Je ne saurai même plus dire le nombre d’orgasmes qu’il m’a donné à m’en faire perdre mes sens et littéralement ma conscience.
Je sais que je suis immorale. Je sais que c’est plutôt moi la putain, que je ne me respecte pas, ni elle non plus. Mais je m’en balance de l’opinion des gens. Et personne ne le sait. Je le veux. J’ai envie de jouir. J’ai besoin de lui.
J’imagine qu’il vaudrait mieux que je ne lui écrive plus et que j’arrête de le supplier comme je suis en train de le faire. Mais la bouteille de rhum plus que bien entamée sur la table à côté est plus ou moins préoccupée par ma bonne conscience, mon image et mon indépendance. Je veux juste baiser.
Alors, je lui envoie un snap. Comme c’est la bouteille la coupable, je le mets en contexte en lui montrant ce que je bois.
Ce n’est pas moi la coupable.
Il l’ouvre dans la minute qui suit.
Fière de l’attention qu’il vient de me donner, je sais que même s’il me repousse, il en a bien envie. Je lui envoie une photo de moi, bien habillée.
Je sais que je m’en viens chaude, mais j’ai réellement chaud…
Et je lui envoie ensuite une photo de chaque morceau au sol que je retire, ma culotte y comprise. Jusqu’à ce qu’il ne me reste que mes bas de laine noirs, aux genoux, photo que je lui envoie également. Il ne répond pas. Il n’écrit rien et ne me montre rien. Mais il continue d’ouvrir mes snaps quasi immédiatement.
Je lui prépare un dernier message : une courte vidéo. Je me place à genoux sur le plancher, la chatte nue et excitée par ses refus de venir la défoncer. La bouteille de rhum vidée, je la pose au sol et bouge mon bassin de façon à frôler le goulot sur ma mouille. Je lui envoie cette vidéo de huit secondes. Il la rejoue.
Puis je lui écris sans y joindre d’image :
Soit tu m’enfonces d’ici 15 minutes, soit j’abandonne pour de bon.
Il habite près, au bout de ma rue en fait. Je ne sais pas quel mensonge il devra inventé pour y arriver et je m’en balance. L’alcool et moi on veut se faire sauter.
21 h 34, il écrit : OK.
Je me lève du plancher du salon, laissant mon cellulaire au sol. Je dégage l’entrée de mon appartement de toutes les bottes qui y trainent, il n’y en a pas moins d’une dizaine. Je ne veux surtout pas le voir les abimer. J’attrape mon manteau et mes trucs sur les crochets et je les balance sur le canapé du salon.
J’entends l’ascenseur sonner le 4e étage. Je suis nue, face aux murs, les bas aux genoux, les mains immobiles. Je l’entends marcher dans le corridor d’entrée. Je meurs qu’il passe cette porte et qu’il me prenne. J’ai l’impression que mon corps entier frissonne. Mon sexe pétille d’impatience. J’aurais envie d’y foutre les doigts en l’attendant, mais j’en perdrais le plaisir de me faire ouvrir de sa grosse bite. Il pousse la porte. L’anticipation m’étouffe. Je le veux en moi.
(P) Salut.
Il laisse son manteau tomber au sol. Il fait froid dehors et je sais que ses mains seront congelées. Il empoigne mon cul fermement. Je laisse échapper un petit cri. Il pétrit et écarte mes fesses. Ma chair danse sous ses doigts. Il embrasse mon cul et le lèche sans gêne. Sa langue est bonne. Mes mains sont toujours aux murs et je ne le regarde pas. Je me laisse porter par mes autres sens imbibés d’alcool.
Il retire son t-shirt et se penche pour aller détacher ses bottes. Il remonte en caressant mes bas. Debout, il détache son jeans et ne sort que sa queue, sa grosse queue bandée. Je la vois dans ma tête et j’ai hâte de la sentir.
(A) Ton temps s’écoule.
Il écarte de nouveau mes fesses de ses mains, mais cette fois pour s’introduire en moi. Il m’enfonce et me pénètre d’un coup. Je sens ma chatte s’ouvrir sous la largeur de son membre. Je suis excitée et mon sexe le pleurait, mais sa force me surprend tout de même l’intérieur. Je gémis. J’aime ça. Il entre et sort de moi comme il lui plait. Le tissu de ses jeans frotte ma peau et sa ceinture cogne mon cul sur chaque poussée.
Je grimpe sur la pointe des pieds. Il écrase mes mains des siennes, pour s’assurer que je ne bouge pas. Mon visage s’aplatit contre le mur, étouffant mes cris et augmentant mon plaisir. Je suis coincée, je lui appartiens. Sa queue me pilonne toujours et encore. Il ne la retire que pour la claquer sur mon cul. Il tient un rythme que personne n’égale, il ne diminue jamais, ne ralentis pas et je me laisse fourrer avec plaisir.
Bientôt mes jambes commencent à fourmiller. Je descends sur mes talons pour tenter de reprendre contrôle sur moi et de me laisser endurer encore un peu plus ses coups. Il me connait bien et me sens faiblir. Il lâche mes mains et je reprends appui plus bas. Il passe son bras devant mes épaules, son avant-bras remontant vers ma gorge, il agrippe mes cheveux de l’autre main pour les balancer vers l’arrière.
(P) Dis-moi que tu en veux encore!
(A) J’en veux encore. J’en veux encore. J’en veux encore…
Semi en transe, je répète ces mots, comme un gémissement, une plainte, sans cesse jusqu’à ce que je sente mon orgasme accessible. Il tire mes cheveux encore un peu plus fort et me claque une dernière fois, bien plus durement et profondément encore que la centaine de coups qu’il vient de m’offrir. Je jouis dans un hurlement insouciant et tout sauf discret.
Il embrasse ma joue et se retire. Son membre est encore aussi dur.
(P) Elle est où ta bouteille de rhum?
(A) Au salon. Elle est vide.
(P) Va la chercher.
Il se rend à ma chambre, les jeans toujours sur les hanches et m’attends sur le lit.
Je réponds à sa demande et reviens vers lui. Je vois enfin son visage. Il m’a manqué. Je lui remets la bouteille vide.
(A) Il n’y en a plus. Mais j’ai autre chose si tu as soif. J’ai toujours autre chose!
(P) Non, c’est celle-ci que je veux.
Il la pose sur le lit et la tiens fermement de ses mains.
(P) Assieds-toi dessus.
(A) Mais non! Je ne veux pas. Elle va casser.
Non. Juste non!
(P) Je suis venue ici pour ça.
Tu l’as cherché.
(A) Ouais, mais je ne suis pas assez chaude pour ça.
(P) Vas-y! Juste un peu. Doucement. S’il te plait! J’ai préparé ta fente avec mon corps. Juste un peu. Je veux voir ça.
(A) Oh my god!
Pleine d’envie de lui plaire, je m’exécute. J’enfile cette bouteille une première fois en fermant les yeux le plus fort que je le peux cherchant à fuir la situation. Puis je les relâche doucement et continue de monter et descendre sur le verre. Il a placé sa main un peu plus loin que le goulot. Elle m’assure de ne pas aller trop loin et je m’efforce de ne pas onduler, de ne rien brusquer et de garder mon bassin correctement aligné pour ne rien briser. Au bout de quelques secondes, je commence à toucher mon aise. Je le regarde, il est salement excité et ne cesse d’observer. Je me retire et il pose la bouteille sur la table de chevet.
(P) Esti que t’es hot!
Il est bandé à mort, il me repousse sur le lit.
(P) Laisse-moi goutter maintenant.
Il me mange avec plus de désir que je ne lui ai jamais connu, de longues et délicieuses minutes. Je suis exaltée. Je bouge mon cul sans arrêt, frottant mon sexe partout sur son visage. Je passe ma main dans ses cheveux et retiens sa face sur mon plaisir. Je frissonne.
Il se retire et viens m’embrasser. Je goutte mon jus dans ses lèvres. Il engloutit de nouveau sa bitte en moi. J’ai l’impression d’exploser instantanément. Il est à genoux, je suis sur le dos. Il attrape mes jambes et les remonte sur ses deux épaules pour m’enfoncer encore mieux. Je ne tiens pas longtemps, il me claque encore quelques instants avant de laisser tomber sa salive sur le bas de mon ventre. De son pouce, il la redirige sur mon clitoris qu’il frotte au même rythme que sa queue. Je gémis, je me tortille, jusqu’à un orgasme beaucoup plus puissant que le précédent, me laissant complètement molle sous son emprise.
Il se retire, reprend la bouteille de rhum vide. Il la lèche en se branlant. Son sperme ne devrait pas tarder à jaillir. Il se branle et je les observe, lui et sa queue parfaite. Il grogne et laisse couler son jus à l’intérieur de la bouteille. Il a plutôt l’habitude de me demander de l’avaler. Je l’observe curieuse. Il me la tend avant de s’assoir près de moi
Il te reste une gorgée bébé.